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cristoraul.org " El Vencedor Ediciones"

 

OUVERTURE DU TESTAMENT UNIVERSEL DE CHRIST JESUS

L'EVANGELIKOM

CHAPITRE UN

MAGNA CARTA DU ROYAUME DE DIEU

 

Déclaration de principes

Avant le Concile de Nicée, tenu en 325 après J.-C., Concile dans lequel l'Église catholique a adopté le titre de romaine en réponse à l'arianisme, titre dans lequel le protestantisme n'a voulu voir que l'ubiquité du Successeur de Saint Pierre, opérant ainsi à la manière d'une religion sectaire exigeant une rupture schizoïde, irréversible et incontrovertible avec la Mémoire historique de la Nation, une exigence que l'Histoire universelle a vu se consommer dans le processus d'expansion de l'Islam, dont la conversion a déterminé la diabolisation de tout le passé des peuples soumis au fer et au feu du Coran, et parce qu'il était nécessaire pour le catholicisme jésuitique d'ériger une barrière visible entre l'Église apostolique et cet arianisme qui niait le dogme de la Trinité, et en particulier la divinité du Fils ; jusqu'à l'avènement de ce concile universel de l'an 325. C. La déclaration de foi sous peine de mort confessée par toutes les églises peut être résumée par les mots suivants : "Dieu Yahvé, le Seigneur des armées des Saintes Écritures des Hébreux, le Dieu des dieux du patriarche Abraham, du prophète Moïse, du roi David : Yahvé est le Vrai Dieu".

Yahvé Dieu est Père ; son Fils premier-né s'appelle Jésus. Ce Premier-né de Dieu est celui qui s'est fait homme, né à Bethléem de Judée sous l'empire du César Octave Auguste, à la fin du règne d'Hérode Ben Antipater, en la première année du siècle du Christ.

Le Fils de Dieu est venu dans le monde pour acheter notre Rédemption au prix du sang du Christ.

Ce Rédempteur, alors qu'il était dans le monde, nous a révélé l'Homme que Dieu a créé au commencement à son image et à sa ressemblance. Cet homme est le Christ. Et cet Homme est en nous.

Cet Homme est celui qui confesse avec un cœur débordant d'éternité et un esprit ouvert à l'infini que le Premier-né de Dieu, Jésus, le Christ, est le Modèle éternel à l'Image et à la Ressemblance duquel Dieu a créé l'Homme.

Ce Jésus qui est venu dans le monde pour nous offrir la vie éternelle, ce Jésus est le Fils unique de Dieu, incréé, incréé, le début et la fin de la Création, l'alpha et l'oméga de l'activité divine, le premier et le dernier de sa Nature : Dieu le Fils unique, notre Roi et Seigneur, notre Maître et Sauveur.

C'est à propos de cette Foi que s'accomplit la Parole de Dieu, qui dit : "Le Juste vivra par la Foi".

Cette simple et élémentaire Confession, cette élémentaire et simple déclaration de Foi, tout comme aujourd'hui encore elle coûte la vie à de nombreux hommes et femmes, hier, avant Nicée, elle signifiait la mort.

Nous, aujourd'hui, indépendamment de la réaction de celui qui l'entend ou l'écoute, continuons à confesser la Déclaration universelle que toute la Création confesse avec la bouche et vit avec le cœur :

 

Article 1 : Dieu est amour

Dieu, volontairement et librement, poussé par l'Amour pour son Fils, a fait de sa Création un Royaume.

Aucune autre force que l'Amour de la Vie n'est à l'origine de l'impulsion qui a conduit Dieu à créer ce Royaume éternel, un espace où la Plénitude des Nations de la Création partagent la même Vie et se rapportent à leur Créateur à la lumière de Sa Sagesse éternelle infinie.

La doctrine calviniste protestante assimilant le Dieu de l'amour à un Être tout-puissant dirigeant à son gré la science du bien et du mal est, comme l'arianisme en son temps, une négation de la théologie de Jésus-Christ des Pères du Concile de Nicée, et par conséquent l'ennemi du Saint-Esprit qui, par la bouche de ses enfants, a dit : "Dieu est Amour".

Car quoi de plus contraire à l'amour de la vie qu'un Dieu maléfique qui crée des mondes dans le seul but de passer l'éternité à tuer le temps dans le jeu apocalyptique du salut ? Le calvinisme protestant, fondant sa défense sur l'impossibilité pour une créature de s'opposer au dessein de son Créateur, a absous le Diable d'être le cerveau de la Chute.

 

Article deux : Dieu est Père

Dieu est la source d'où émane la Constitution de Son Royaume, par laquelle sont gouvernées toutes les Civilisations des Peuples de l'Univers et s'articule la Plénitude de leurs Nations. Cette Constitution Universelle a son Origine et son Principe dans la Paternité Divine. De cette paternité et par elle, Dieu légifère de son Omniscience et juge de sa Prescience, la Vérité étant le début, le moyen et la fin de son action. Enfants de Dieu, citoyens de Son Royaume, nous courons vers Lui spontanément et nous nous jetons dans Ses bras en criant de tout notre être, Notre Père !

 

Article trois : Yahvé est Dieu

Yahvé est le nom de l'Être qui a créé le champ de galaxies et l'océan d'étoiles de l'Univers. IL est le Créateur du Cosmos et de tout ce qui existe dans l'Univers. IL est la source d'où découle l'Avenir de toutes choses, qui par Son Être soutient et par Sa Parole se déplace vers l'horizon qui ne sera jamais atteint et a dans l'Infini son Orto. Yahvé est la source de la rivière de la Vie, IL est Celui qui maintient l'avenir de la plénitude des Nations dans une croissance éternelle et joyeuse et fait couler son flux dans l'océan de Son Omniscience. Tout ce qui existe, dans le Cosmos comme dans l'Univers, a en LUI sa cause physique et la source d'énergie qui lui permet de croître pour l'Eternité.

 

Article quatre : Dieu est Seigneur

Par droit de la Création, tout appartient au Yahvé Dieu. IL a tous les droits de propriété sur toute sa création. Toutes les choses, celles du Cosmos comme celles de l'Univers, celles du Ciel comme celles de la Terre, toutes Lui appartiennent, et IL les gouverne selon Sa Sagesse Infinie. De cette vérité éternelle, IL a donné la couronne de son royaume à son fils premier-né. Jésus-Christ est le nom de son Fils, Jésus-Christ est le nom du Roi de la plénitude des nations. 

 

Article cinq : Le Roi

Il n'y a qu'un seul Roi, universel et éternel. Son Père est Dieu. Au Père revient l'adoration de toutes les créatures de l'Univers et au Fils l'obéissance de tous les citoyens du Royaume des Cieux. Le Roi est Fils unique ; Fils bien-aimé, il est la cause métaphysique de la Création de Dieu. En tant que Roi, il est le chef de toutes les armées du Royaume de Dieu, il est le bras de Yahvé, son Père. Il est le Prince des princes du Ciel, le Premier-né des fils de Dieu.

 

Article six : Le Seigneur des armées

Yahvé est le Seigneur des armées de son Royaume. À la tête de toutes les armées de la plénitude des nations de l'univers, IL a placé son Premier-né, notre Roi, son Fils bien-aimé. Toutes les armées de son Royaume obéissent uniquement et exclusivement à leur Roi éternel, et ne se déplacent qu'au commandement de sa voix. Aucun pouvoir exécutif en dehors de sa Couronne n'a le pouvoir de guerre et de paix. Toutes les nations du Royaume de Dieu déposent leurs armées aux pieds du Roi, dont le Conseil a le pouvoir de la guerre et de la paix. Ce Conseil a dans le Père, Yahvé Dieu, son chef tout-puissant et omniscient. Toutes les armées de l'ensemble des nations sont régies par cette loi d'obéissance au Conseil du Roi du Ciel. Aucun gouvernement n'a de pouvoir sur les armées de la nation à laquelle ils appartiennent. C'est au Roi, en effet, et au Roi seul que son Père, Dieu, a donné ce pouvoir. Son Fils, notre Roi, est son bras, le bras droit de Yahvé, Seigneur des Armées.

 

Article sept : Le Souverain Pontife

Le Roi est l'unique pontife suprême de la plénitude des nations. La Plénitude des Nations de la Création n'a qu'une seule Religion, un seul Dieu et un seul Souverain Pontife, autour duquel tous les Peuples de l'Univers s'unissent pour adorer le Vrai Dieu, Yahvé, le Père, Créateur de toutes choses, du Ciel comme de la Terre, dont l'Esprit Saint anime tout et maintient tout dans une croissance saine et joyeuse. Lui, le Pontife Suprême, est l'Unique Vivant qui se tient devant le Dieu de l'Eternité et de l'Infini; Son Nom est Jésus-Christ.

 

Article huit : L'Église

Le Souverain Pontife, Jésus-Christ, le Fils Unique, est l'Unique Tête, Suprême et Divine, et par Divine : Visible, de tous les Évêques et de tous les prêtres et pasteurs de la Plénitude des Nations. C'est à Lui seul que tous les évêques et tous les prêtres et pasteurs qui, avec Lui et en Lui, forment un seul et même Corps sacré et éternel, l'Église, doivent leur obéissance sempiternelle. Cette Église, Son Corps, a pour Maison tout le Royaume de Dieu et, dans sa chair, au milieu de la Plénitude des Nations, elle maintient vivante la Doctrine de l'Éternité et de l'Infini : l'Éternel est Dieu et Père.  

 

Article neuf : Dieu est juge

Créateur et Fondateur du Royaume des Cieux, dont la Couronne Lui appartient et IL la partage dans la vie avec Son Fils, car étant Dieu, Il ne peut pas mourir, Son Fils héritant dans la vie de la Couronne qui, par droit de naissance, Lui appartient ; étant son Créateur et Fondateur, Yahvé Dieu a réservé au Roi la Présidence de la Cour Suprême de Justice, dont la Juridiction comprend la Plénitude des Nations de Son Royaume, plaçant ainsi entre les mains du Roi le Pouvoir illimité de juger celui qui préside la Cour Suprême de Justice de Son Royaume. Comme le Fils a hérité dans la vie de la Couronne qu'il devait hériter après la mort du Père, le Père étant Dieu a ouvert son testament dans la vie afin que dans la vie, étant le Fils de sa propre nature divine, il puisse jouir de ce qu'autrement il n'aurait jamais pu. Il l'a glorifié à la naissance, en abolissant toute couronne et en élevant la sienne sur le trône de Dieu, son Père ; et il l'a glorifié à nouveau à la mort, en l'asseyant sur le trône du président de la cour de justice de son royaume, avec le pouvoir illimité de prononcer une sentence, à la mesure de Dieu lui-même, acquittement universel compris.

 

Article dix : La loi de l'égalité

Tous les citoyens du Royaume des Cieux, en tant qu'enfants de Dieu, indépendamment de leur nation d'origine, jouissent tous de la même égalité devant la loi. Tous les Citoyens du Royaume de Dieu, sans exception, depuis le Roi qui siège à la Droite du Père jusqu'au moindre de Ses enfants, tous les Citoyens de la Plénitude des Nations sont responsables de leurs actes devant la Justice, tous sont soumis à la Loi Universelle de l'Égalité des Responsabilités.

 

Article onze : La loi de la liberté

Dieu est le Seigneur et à LUI appartient le sol où habite la plénitude des nations. Héritier de son Père, participant à tous ses bienfaits, le Roi est Seigneur du sol que foulent toutes les Nations. Les frontières de Son Royaume s'étendent autour de la Plénitude des Nations. Les citoyens de la Plénitude des Nations de Son Royaume sont libres et jouissent de la liberté de mouvement de ceux qui ont Dieu pour Père et le Roi du Ciel pour Frère.

 

Article douze : La loi de la fraternité

Tous les biens et les richesses de la Plénitude des Nations, du sol comme du peuple, appartiennent à Dieu. Tous les citoyens de Son Royaume, quelle que soit leur Nation, possèdent par naissance le Droit d'usage et de jouissance de tous les biens et richesses de l'Univers. C'est Dieu qui multiplie les biens et les richesses de son Royaume, que ce soit par la Nature, ou par ses enfants, en vue du bonheur de la Plénitude des Nations.

 

Article treize : La loi de l'intelligence

Dieu crée ses enfants intelligents à son image et à sa ressemblance pour l'enrichissement de la plénitude des nations dans toutes les sciences et technologies. Étant L'Origine de toute Connaissance, tous les bénéfices proviennent de Son Omniscience et sont soumis à la Loi de la Fraternité éternelle. Car Dieu travaille en tous pour l'enrichissement et la croissance de tous dans la Connaissance de toutes choses.

 

Article quatorze : Le droit de la paix

C'est le Devoir des enfants de Dieu de faire en sorte que la Plénitude des Nations ait un accès libre et sans restriction à la Bibliothèque de la Connaissance Universelle pour la satisfaction et le bonheur de leurs Peuples dans tout ce qui concerne les besoins de structures et d'infrastructures relatives aux Technologies et Sciences de la Paix et de la Santé. La Plénitude des Nations, soit par l'intermédiaire des Fils de Dieu et de leurs Fondations issues de projets privés ou internationaux, soit par l'intermédiaire de leur Conseil, a le devoir de fournir tous les moyens financiers et économiques nécessaires pour que cette Norme de Sagesse se réalise, et que les nations les plus éloignées du Modèle Social de Civilisation s'approchent du centre universel sans subir le long et étroit chemin parcouru par les nations qui composent son noyau. Aucun monde et aucun système de civilisation ne peut subsister dans le temps et l'espace sous réserve d'une différence chronique invincible entre ses nations. L'inégalité imbattable par la destruction constante des schémas temporels conduit les Mondes à leur disparition de la surface de l'Univers par l'épuisement progressif des ressources naturelles et l'augmentation cyclique des armes de combat chez ceux qui imposent l'inégalité comme moyen de subsistance. Si celui qui sème les vents récolte les tempêtes, que récolteront ceux qui sèment les tempêtes ? Offrir librement et gratuitement à tous les Peuples les fruits de la Civilisation, c'est offrir à toutes les Nations le fruit de l'arbre de vie : qui est la Paix.

 

Article quinze : Le droit de la guerre

Le fruit de l'arbre interdit est la guerre. La Loi Naturelle Divine stipule que l'accès et la participation à la croissance des sciences de l'arbre des Technologies de Défense sont interdits à tous les agents en dehors du Corps des Armées de la Plénitude des Nations. Le droit naturel divin établit que le fruit de l'arbre des technologies de défense est sous l'administration du Conseil des fils de Dieu, et interdit donc expressément la vente de produits et d'informations sous peine de crime contre la sécurité de l'humanité. Personne ne peut vendre des technologies et des informations à une tierce partie par l'intermédiaire d'une seconde partie sans provoquer des déchirures guerrières dans la Communauté internationale et des tremblements de terre dictatoriaux dans les nationales. Pour l'accomplissement de cette Loi pour la Paix et la Sécurité de l'Humanité, les enfants de Dieu ont le devoir de promouvoir et de construire la formation d'un Conseil des Etats Majeurs comme responsable et garant de l'accomplissement de cette Loi, et la soumission de ce Conseil au Conseil de la Plénitude des Nations du Royaume de Dieu sur Terre. L'histoire a montré avec de formidables exemples comment les technologies de la Défense aux mains de groupes privés deviennent la source de séismes guerriers qui dévastent le progrès des nations en développement au nom des profits de ce groupe de production, et comment de tels groupes sont les ennemis de la Paix mondiale à tous les niveaux, car devant vivre à tout prix de la vente de leurs Produits, l'obligation les entraîne à créer de nouvelles guerres, semant la haine entre les nations comme moyen de faire des ventes. Bien qu'au début Dieu n'ait pas voulu nous introduire par la méthode de l'expérience dans la connaissance de la Science du bien et du mal, une fois provoqué le conflit cosmique dans lequel la Race Humaine est encore prise au piège, Dieu dans Son Omniscience s'est arrangé pour nous amener à la connaissance de toutes les lois dans le temps le plus court possible même au prix de l'immense tragédie que ce spectacle comporte. En effet, la connaissance des lois de cette Science est la plate-forme à partir de laquelle on peut articuler la structure du Futur sur le Roc de notre expérience. Sachant que le destin de tout monde soumis aux lois de la Science du bien et du mal est sa disparition apocalyptique, selon les mots de Dieu : son retour à la poussière cosmique, l'expérience se joint à la Science pour poser sur la table les fondements d'une Architecture Biopolitique selon les axiomes et l'esprit de laquelle : le bien de tous par la participation de tous en tous, pour articuler la Construction de la Plénitude des Nations. Dans ce champ, sans violence mais sans concession, tous les enfants de Dieu ont le devoir d'apporter leur grain, sachant que la carrière d'où nous apportons chacun notre grain a son origine dans notre Créateur. Par conséquent : Les technologies de défense au service de la paix et le processus de production sont soumis à la présente norme de paix et de sécurité.

 

Article seize : La loi de la sécurité

Le fruit de l'arbre de vie est la paix. Les nations ne peuvent pas être mises à l'écart de la paix en raison de l'intérêt privé de certains groupes financiers internationaux ; nous, les enfants de Dieu, ne pouvons pas non plus accepter que la jouissance de la liberté soit soumise aux objectifs de ces groupes de pression, étrangers ou nationaux, dont les buts et les fins sont la déstabilisation des gouvernements comme une porte par laquelle entrer et piller la richesse des nations. Le Conseil de l'ensemble des Nations ne peut garantir la paix et la liberté internationales sans le pouvoir d'affronter ces groupes, de les soumettre à la loi et de les déclarer hors-la-loi s'ils persistent dans leurs actions anti-sécurité. C'est dans ce contexte que la Loi naturelle divine prévoit que le Conseil des fils de Dieu a tout pouvoir pour décréter l'expropriation des actifs de toute association financière internationale dont le moyen de profit est la déstabilisation des Gouvernements nationaux. La Loi naturelle divine stipule que le Conseil des fils de Dieu a le Pouvoir de décréter la désintégration des associations financières internationales opérant sous une loi de légalité impériale, sans cours légal dans ce Nouvel Âge, et de traduire devant la Cour Internationale de Justice leurs patrons et collaborateurs locaux, tête et queue. L'intervention dans l'économie d'une nation par un groupe d'intérêts, physiques ou juridiques, extérieurs à l'organe législatif de la nation concernée implique son invasion par un État apatride, dont l'activité, bien que masquée sous la légitimité d'opérations financières, vise une activité terroriste internationale, c'est-à-dire la déstabilisation du gouvernement d'un peuple en raison des intérêts du groupe financier envahisseur. Ainsi, toute intervention d'un groupe d'intérêt financier contre la légalité d'un gouvernement régi par l'État de droit est une atteinte à la sécurité, dont la nation et l'État qui soutiennent les intérêts de ce groupe en mettant à sa disposition ses ressources nationales, qu'elles soient militaires ou logistiques, sont responsables, subissant les conséquences comme nous l'avons vu ces derniers temps. On comprend dès lors que tout groupe financier qui agit sur la base de la Liberté internationale dans l'économie d'une Nation afin de déstabiliser son Gouvernement perd tous ses droits internationaux à partir du moment où il utilise la Liberté comme moyen d'appauvrir le Peuple, et l'appauvrissement comme moyen de déstabiliser la Paix. L'Histoire des Nations a déjà montré avec de nombreux exemples comment le terrorisme de tels groupes financiers sur un Gouvernement légitimement établi conduit les Peuples aux profondeurs des enfers auxquels leurs victimes ne s'étaient pas du tout taillé un tel destin. L'avenir de l'Humanité et d'un Royaume qui regarde vers un Horizon qui ne finit pas : il ne peut que se permettre la joie et le bonheur d'avancer sous un ciel sans nuage du Pouvoir d'un Conseil Mondial pour la défense de la légitimité des Gouvernements des Peuples.

 

Article dix-sept : Droit du pain

La propriété de toutes les choses de l'Univers, des Cieux comme de la Terre, appartient à Dieu, leur Créateur. Toutes les créatures sont nourries par notre Créateur à travers sa création. Toute limitation de la production ou destruction des biens de la terre agricole pour des intérêts privés ou communautaires est un crime contre l'Humanité. Aucune raison ne justifie la famine des nations du tiers monde au nom d'un marché qui impose la destruction de millions de tonnes par an de produits vitaux pour la vie et la croissance saine des nations. La capacité de ce Marché et des Communautés à ordonner la destruction et à limiter la productivité de la terre pour produire de la nourriture est un crime contre l'Humanité. Nous, enfants de Dieu, avons le devoir d'abolir cette capacité criminelle du Marché à affamer des multitudes entières au nom du concept criminel de stabilité des prix. Aucun prix ne justifie le meurtre de masse des peuples de l'Humanité. Il est du devoir des enfants de Dieu d'abolir ce système de quotas de production et de libérer la terre des chaînes jetées sur elle par les intérêts des dirigeants de tous les temps.

 

Article dix-huit : La loi du pays

La propriété légale de la terre appartient à Dieu qui l'a créée pour nourrir toutes ses créatures avec les fruits de la terre. Ce Droit Divin établit pour le Conseil de la Plénitude des Nations de Son Royaume un pouvoir illimité pour la Distribution des fruits de la terre parmi les peuples de Son Royaume à l'Heure du besoin. Dans cette Heure, tous les excédents stockés et toutes les récoltes dans leur fruit seront à la disposition du Conseil des fils de Dieu pour soulager les besoins des peuples frères.

 

Article dix-neuf : Le droit de la propriété

Toutes les créatures sont des frères en Dieu, notre Créateur. Notre Créateur et Père a ordonné que la capacité de la terre à nourrir ses enfants soit illimitée. Mais les guerres entre ceux qui se sont rebellés, dans leur ignorance, contre cette disposition divine selon laquelle toutes les ressources sont la propriété de tous les hommes et soumises à la distribution internationale selon les besoins, ces guerres, comme la marée emporte du rivage les écrits sur la plage, ont défait ce que Dieu a fait et donné le droit de propriété de la terre à la créature, déshéritant le Créateur de sa Création. A l'origine de cette folie des famines qui ont dévoré sous nos yeux des multitudes entières, après avoir assisté impuissants au spectacle inhumain de la destruction des surplus alimentaires, par le feu et les quotas, la Loi naturelle divine prévoit que l'abandon d'une terre arable par ses propriétaires temporaires implique la réversion à ce Droit de la Création du titre de propriété, qui sera accordé librement et gratuitement à celui qui donne à la terre ce que la terre veut, et par cette satisfaction l'homme satisfait le Besoin du sien et de tous les autres êtres humains.

 

Article vingt : La loi de l'humanité

La propriété légale de la terre arable, dont dépend la vie de ses enfants, appartient inaliénablement à Dieu. Sa propriété temporelle est dévolue à celui qui la cultive, et il est ordonné dans la loi naturelle divine qu'elle restera dans sa famille aussi longtemps qu'il y aura des mains pour la travailler. Comme elle appartient en usufruit au laboureur, la terre ne peut être ni vendue ni achetée, mais à la fin du travail, en raison de l'absence des mains de la famille, la terre reviendra à son Créateur, et celui qui continuera à donner à la terre ce que la terre demande, les mains de l'homme, y entrera. De ce travail, et non de la technologie et des sciences des loisirs, dépend la vie de l'humanité. Ainsi, lorsque Dieu a créé l'Homme et qu'il est allé choisir parmi eux celui qui serait le plus grand, il a pris pour Lui un maraîcher, un agriculteur, un éleveur. Héritier de son Père, toutes choses appartenant à son Père, en héritant de la propriété de la Terre, son Père l'a préservée du pillage et de l'esclavage auxquels, contre sa volonté, la Terre a ensuite été soumise, et celle qui avait été créée avec une capacité illimitée s'est retrouvée dans la contradiction de voir ses enfants mourir de faim. Cette Propriété revient donc aux mains de l'Humanité, dont le Chef était Adam, et au présent Jésus-Christ, le Propriétaire Légitime et Seigneur de toutes choses, du Ciel comme de la Terre.

 

Article vingt-et-un : Le droit du futur

La loi naturelle divine stipule que les mains qui ont exproprié le Seigneur de sa création en réduisant les enfants de la terre en esclavage n'ont aucun droit sur la terre. Ce sont des mains du crime. L'histoire universelle est longue en exemples sans nom et généreuse en leçons sans titre. Le landlordisme est un crime contre l'humanité dont le fruit s'est avéré être l'ignorance, la misère et la guerre civile. La terre appartient à ceux qui l'habitent et vivent sur elle, faisant vivre l'Humanité avec le fruit de leur travail, à commencer par eux-mêmes et leurs foyers. Il est du devoir des enfants de Dieu d'abolir cette forme de criminalité, héritée du passé, par laquelle les enfants de la terre ont été aliénés des moyens que leur a donnés le Créateur pour vivre et participer à la Société par la production des fruits de la terre, sans lesquels l'Humanité ne peut vivre. L'abolition de cette forme criminelle d'administration des terres sera abolie par la Plénitude des Nations du Royaume. Comme il est aboli dans le Ciel, ainsi sur la Terre.

 

Article vingt-deux : La loi de la santé

Déclarer comme crime contre l'Humanité la garde et la protection de toutes les portes qui interdisent l'accès de tous les peuples du Royaume de Dieu aux technologies de la Santé, physique et mentale, des êtres humains, lesquelles gardes et protections, au nom de quelque système et légalité que ce soit, sont la condamnation à mort de multitudes de créatures. Il est du devoir des enfants de Dieu de doter le Conseil de l'ensemble des Nations d'un Comité d'urgence doté de tout pouvoir sur les entreprises publiques et privées des Nations du Royaume de Dieu engagées dans la production médicale, sous toutes ses formes, en vue de la Distribution libre et gratuite de leurs produits parmi les nations pauvres selon les besoins. Les médicaments sont l'arme avec laquelle une créature se bat pour sa vie contre la Mort. S'il en est privé, il est jeté dans le cirque des lions pour être donné en pâture aux bêtes sauvages. Mais le Créateur a placé toutes les ressources de sa création entre les mains de ses enfants pour la victoire de ses créatures.

 

Article vingt-trois : La loi de la sagesse

C'est le Devoir des enfants de Dieu de financer et d'articuler tous les efforts des sages de la Plénitude des Nations, en libérant la Science de la science, la Science de la Santé, de tous les intérêts privés, étatiques et individuels, en créant une Communauté Scientifique rassemblée et consacrée à vie à la Victoire de l'Humanité contre toutes les maladies, héréditaires et séculaires, qui parasitent l'humanité depuis les jours de la Chute d'Adam. Les fruits de cette Communauté seront le Patrimoine de l'Humanité et mis entre les mains des Nations, librement et gratuitement, pour la joie de tous les êtres humains.  

 

Article vingt-quatre : La loi de la vérité

Tous les enfants de Dieu, sans exception, sont responsables de nos actes criminels contre nos semblables devant la Justice. Nous, enfants de Dieu, avons le Devoir de libérer la Justice de toute forme de soumission au Pouvoir politique et religieux afin qu'elle puisse accomplir, à partir de la Liberté, les principes de la Vérité, parmi lesquels l'Égalité de toutes les créatures aux yeux de la Justice divine de notre Créateur est le Rocher sur lequel s'élève Son Royaume pour l'éternité. Et nous avons le devoir de doter la Justice de tout pouvoir juridictionnel pour faire appliquer cette loi à tous les citoyens sans exception. Toute déviation de ce Principe Éternel et toute exception à cette Règle Divine est une porte menant au terrorisme de la Science du bien et du mal, dont nous sommes rassasiés à vomir et ivres de colère des feux et des horreurs.

 

Article vingt-cinq : La bataille finale

Dans Son Omniscience pour articuler Sa Civilisation en vue de la vie éternelle, Dieu a établi que Son Royaume aura pour principal pilier de sa Construction un Organisme Judiciaire doté d'un Pouvoir Législatif illimité pour combattre le crime, la délinquance, le terrorisme... Le Mal sous toutes ses formes. Ayant élevé à la tête de ce Corps son Fils, notre Roi éternel, nous, enfants de Dieu, avons le Devoir d'articuler le Corps de Justice de notre Civilisation à l'image et à la ressemblance du modèle divin, dont le Principe est la Vérité et la Fin la Paix. L'armée des juges étant l'avant-garde de choc dans la bataille de l'humanité contre le crime, sous toutes ses formes, il incombe au corps judiciaire de légiférer sur toutes les mesures sans lesquelles la bataille est perdue, et par l'application desquelles la victoire nous revient. Il est de notre devoir d'abolir ce pouvoir du corps politique d'aliéner le pouvoir judiciaire du pouvoir législatif anti-crime sans lequel la bataille contre le crime organisé, national et international, se développe et étend ses tentacules jusqu'au noyau dur des gouvernements démocratiques.

 

Article vingt-six : Le modèle divin

Dans sa lutte pour nous faire sortir des ténèbres vers la lumière de la Vérité, Dieu a voulu que notre Civilisation contienne dans son corps la semence des valeurs que Sa Civilisation contient dans des arbres matures dont les fruits nourrissent la Paix, la Plénitude des Nations de Son Royaume. Il est de notre devoir d'articuler notre Civilisation à l'image et à la ressemblance du Divin. Il est donc du devoir des enfants de Dieu de l'ensemble des Nations de signer la Charte d'Adhésion à la Cour Pénale Internationale et de doter son Organe des pleins pouvoirs exécutifs pour faire remettre ses mandats d'arrêt aux personnes reconnues coupables de crimes contre l'Humanité sans aucune disposition contraire de la part des Gouvernements auxquels le mandat d'arrêt et de remise est adressé. Tout refus par un Gouvernement de se soumettre à la Justice Internationale sera considéré comme une rébellion contre l'Humanité, et par conséquent soumettra ce Gouvernement à une enquête pour complicité de crimes contre l'Humanité perpétrés par le sujet contre lequel le Tribunal a signé un mandat d'arrêt et de remise. 

 

Article 27 : Défense et liberté

Dans la lutte commune Créateur-Créature, Dieu-Homme, contre les systèmes et les maux hérités du Passé et naturels à la Science du bien et du mal, et en vue de fermer la voie de l'Avenir à ces systèmes et organisations criminels qui, sous la bannière d'idéologies et de religions, s'élèvent au pouvoir pour dévaster par le Pouvoir leurs propres peuples et les peuples voisins, les enfants de Dieu de la Plénitude des Nations ont le Devoir de fonder une Cour d'Appel Universelle devant la Table de laquelle les peuples, victimes de tels monstres, pourront demander Défense et Liberté. La Cour d'appel universelle plaidera la cause devant le Tribunal pénal international et devant le Conseil de l'ensemble des Nations, en se mobilisant à la fois pour la Liberté et la Défense des peuples pris au piège des roues de la Tyrannie. Le Tribunal émettra un mandat d'arrêt international et le Conseil déplacera les forces de capture nécessaires. Tous les Gouvernements de l'ensemble des Nations collaboreront avec la Cour de Défense des Peuples en mettant à sa disposition tous les moyens nécessaires au développement de la Victoire de tous contre les tyrans et les dictateurs dont la nourriture est la chair humaine et la boisson le sang humain. Le Conseil livrera ces monstres au Tribunal afin qu'ils soient jugés pour leurs crimes contre l'Humanité.

 

Article vingt-huit : La loi de la vie

La Loi naturelle divine établit que les étrangers qui fuient en cherchant un refuge contre les guerres civiles, et qui ont faim et soif de Justice et de Liberté, et qui craignent pour leur vie, font un pèlerinage vers une terre de promesse à la recherche de la nature humaine qui leur a été refusée dans leur lieu d'origine : être accueillis comme des frères et vivre sous la protection de la Loi, établissant comme un crime contre l'Humanité toute forme d'esclavage par ceux qui manipulent leur situation pour s'enrichir, que ce soit par le biais de salaires ou de la prostitution. Fondant Sa Création sur un Nouveau Rocher contre les atomes duquel se désintègre toute possibilité de repousse de la Science du bien et du mal dans l'Univers, Dieu maudit l'esclavage et décrète une sentence de bannissement de Son Royaume contre le propriétaire d'esclaves. Il est donc établi par la Loi naturelle divine que nous, enfants de Dieu, avons le Devoir de soumettre toutes choses à la Loi de l'égalité, de sorte que deux personnes faisant la même chose ne peuvent recevoir l'une la misère, parce qu'elle est étrangère, et l'autre la gloire, parce qu'elle est fils du pays. L'étranger comme l'autochtone, nous sommes tous enfants de la même Terre, nous avons tous droit au même salaire pour le même travail.  

 

Article vingt-neuf : La loi de la miséricorde

Il n'y a qu'une seule sorte de Miséricorde. "J'avais faim et vous m'avez donné à manger, j'avais soif et vous m'avez donné à boire, j'étais nu et vous m'avez habillé, j'étais malade et vous m'avez guéri, j'étais en prison et vous m'avez libéré". Lorsqu'il est au pouvoir de l'empêcher, et qu'il est permis au Christ de mourir dans l'homme, la Loi naturelle divine prévoit que le sang de l'innocent retombe sur la tête de celui qui le promeut, ainsi que sur la tête de celui qui le permet. Les enfants de Dieu ont le devoir de briser les frontières et de passer par-dessus la tête des gouvernements dont la politique meurtrière signe l'arrêt de mort de centaines de milliers de créatures, victimes de la folie de leurs gouvernements, folie alimentée par les intérêts financiers de monstres internationaux qui trouvent dans la guerre civile contrôlée une source de profit et de pouvoir. L'inactivité de celui qui regarde le crime se produire et celle de celui qui l'a promu sont les deux faces d'une même pièce, toutes deux punies par la même sentence : "Va en enfer et grince des dents". La Miséricorde, en effet, ne se dispute pas avec la Justice, mais la Justice le fait avec la dureté de cœur. Il y avait une fois un autre roi qui, ayant combattu l'ennemi avec un nombre de soldats bien inférieur, à l'heure de la victoire se retrouva avec des milliers de vaincus et de blessés. Sa décision solomonique était de les tuer tous afin de ne pas avoir à les nourrir ou à les guérir. Il était un roi et il était chrétien, il était le roi des Anglais. La mémoire de Dieu est infinie et éternelle, lorsqu'il s'agit de donner, Il rendra avec Miséricorde, au chrétien comme au non-chrétien, offrant Miséricorde à ceux qui ont eu Miséricorde de leur prochain, ami ou ennemi, connu ou inconnu, et avec Justice, chrétienne ou non, à ceux qui ont marché sur la Justice. Car celui qui croit qu'en confessant que Jésus est Seigneur il est déjà sauvé, malheur à lui quand le Fils de l'Homme se lèvera pour juger selon la Loi et non selon l'Espérance, ce jour-là on verra que Dieu juge chacun par ses œuvres et non par les masses ni par les alléluias chantés un matin de gloire au Seigneur qui nous pardonne tous nos crimes. La miséricorde est pour celui qui la donne, pas pour celui qui la garde. Mais si nous n'aimons pas l'étranger parmi nous et le réduisons impitoyablement en esclavage aux yeux de tous, en retenant son salaire, comment nous soucierons-nous de celui qui meurt dans un camp de réfugiés à des milliers de kilomètres ? Si nous ne nous soucions pas de celui qui est en prison au coin de la rue, comment nous soucierons-nous de celui qui meurt dans la prison d'un tyran par amour de la liberté ? Celui qui a le pouvoir et ne fait rien est aussi coupable que celui qui ne lui arrache pas ce pouvoir pour le remettre à un autre qui fera ce qui doit être fait. La foi sans les œuvres est un suicide, et tuer le Christ par la foi un crime. Quel châtiment méritera celui qui tue l'homme que Dieu a créé à son image et à sa ressemblance, qui est en nous et qui a engendré en nous au prix de la crucifixion de son Fils ?

 

Article trente : Le Jour de Yahvé

Toutes les Nations ont été abandonnées entre les mains d'une génération d'enfants de Dieu, tous méchants, rebelles à leur Père, contre lequel ils se sont soulevés et dont ils ont déclaré la Guerre au Royaume, préférant l'éternité du Bannissement à un jour de plus dans un Univers régi par une Justice qui ne fait pas de différence entre le serviteur et le fils, entre le prince et le citoyen, établissant par-dessus tout l'Egalité Eternelle. Dieu ne croyant pas que la créature osât défier son Créateur par la politique du fait accompli, le cœur percé par la lance de la Trahison, Dieu, Indestructible, ouvrit les yeux et, se levant, dans sa douleur éleva sa Voix et mettant sa tête pour témoin jura d'écraser son ennemi, disant : "Je lève ma main vers le Ciel et je jure par ma vie éternelle : quand j'aiguiserai le glaive de mon épée et que je prendrai le jugement en main, je me vengerai de mes ennemis et je donnerai leur dû à ceux qui me haïssent, je rendrai mes flèches ivres de sang et mon épée sera remplie de chair, du sang des morts et des captifs, des têtes des chefs ennemis." Joie au Ciel, tristesse sur Terre. Joie en haut parce que Dieu avait ramassé le gant et avec ce même gant, maintenant gardé d'une main de fer, a retourné le défi ; tristesse en bas parce que la bataille finale serait combattue sur Terre. Mais se réjouir après la souffrance : "Réjouis-toi, ô peuple, pour son peuple, car il a vengé le sang de ses serviteurs, il l'a vengé de ses ennemis, et il fera l'expiation de la terre et de son peuple. Aussi grande que soit la douleur, aussi grande serait l'Espérance ; si la douleur était infinie, l'Espérance serait éternelle, et en elle la Victoire, ferme : "Tes Descendants s'empareront des portes de leurs ennemis". Réduits en esclavage, les enfants d'Abraham, dans leurs chaînes, Dieu a découvert que ce n'était pas Isaac qu'Il regardait, mais le Christ.

 

Article trente et un : Le droit à la vérité

L'argument suprême sur lequel un témoin peut établir devant un tribunal la véracité de son témoignage est sa vie, son sang. Par son propre sang, le Christ a établi l'Innocence de Dieu par rapport à toute participation, active ou passive, à la mort d'Adam, d'une part, et l'Ignorance d'Adam par rapport aux intentions criminelles de l'ange rebelle par excellence, le dénommé Satan, tête du Serpent, d'autre part. Parce qu'il y avait de l'Ignorance, Dieu a ouvert la porte de la Rédemption, du Sacrifice expiatoire pour le péché. La loi d'expiation - pour le péché du peuple et de son prince - exigeait comme condition sine qua non l'ignorance du transgresseur. La corruption du judaïsme et la rupture de l'alliance entre Dieu et les enfants d'Abraham selon la chair sont survenues lorsque le sacrifice s'est transformé en démonisme, le transgresseur ayant d'abord payé le prix du crime pour ensuite le commettre, un démonisme sauvage et monstrueux établi par la coutume sacrée que Dieu nous a révélé dans le cas de Judas l'Iscariote. C'est-à-dire que s'il y a préméditation du crime, il n'y a pas d'ignorance, et sans ignorance il n'y a pas de pardon. C'est pourquoi Dieu ne pouvait pas pardonner aux Juifs leur crime, même si Son Fils le lui demandait depuis la Croix, car commis avec préméditation, pervertissant l'Alliance de Moïse et transformant la Loi en Temple du péché, l'expiation ne pouvait avoir lieu, et sans expiation il ne pouvait y avoir de pardon. Avec cette transformation du sacerdoce aaronite en un commerce, le crime vaut tant que je paie tant et je continue à le commettre avec le pardon en poche, le judaïsme, dans son ignorance, a fait une défense de l'enfer et de son idéologie, la même qui, dans l'Eden, a mis en pratique sa philosophie diabolique sous le présupposé du pardon divin sur la base de la Paternité du Juge du Ciel sur le criminel. Fils de Dieu, parce qu'il était fils de Dieu, on devait lui permettre tous les crimes et toutes les offenses, donc au nom de Dieu, ici je te poignarde et ici je te maudis. Les Juifs, ayant un prix pour le crime et oubliant la condition sacrée du pardon, l'ignorance, ont transformé le Temple en un commerce lucratif lorsque les prêtres eux-mêmes déposaient à l'avance dans le trésor des pièces d'argent contre le crime qu'ils s'apprêtaient à commettre, qu'il s'agisse d'adultère, de vol, de meurtre, de faux témoignage, etc. Philosophie diabolique dans laquelle l'église romaine est tombée et dont l'église catholique a été sauvée par l'église allemande à l'époque de Luther, lorsque, involontairement, dans son ignorance, l'église catholique a été entraînée par l'église romaine dans la transformation du péché en un commerce lucratif, appelons cela "le scandale des indulgences". Dieu s'est rebellé contre la philosophie de l'enfer. Ni défendu par l'un de ses fils, le cas de Satan, ni défendu par l'un de ses serviteurs, le cas d'Aaron, Il n'accepterait jamais la transformation de Sa Couronne en la cour païenne d'un dieu des dieux dont la santé des princes de Son Royaume pouvait compter sur Sa bénédiction lorsqu'il s'agissait de tuer le temps en jouant avec des vies humaines en tant que diables et anges, policiers et voleurs, méchants et gentils, héros et monstres. Dieu a levé la main au ciel contre un de ses fils, Satan, qui a osé porter son plus jeune fils, Adam, à la croix, et ne lèverait-il pas le poing contre un serviteur, Aaron, qui a osé clouer son fils premier-né à la croix ? Et puisqu'il n'y a pas de trois sans deux, qu'est-ce qui a fait croire à l'église romaine que leur évêque et sa cour de cardinaux seraient autorisés par Dieu à faire ce qu'il ne permettrait pas à son serviteur ou à son fils, à savoir remplir sa coupe du sang de leurs crimes ? 

 

Article trente-deux : Le droit de miséricorde

Juifs et Romains ont tous été pris dans la même ignorance. Sur les chrétiens et les païens est resté le Voile qui empêchait les Juifs de voir Dieu. Ceux qui l'ont vu l'ont aimé d'une force plus puissante que la mort. Mais lorsque ceux qui lui ont succédé sont partis, ils ont vécu par la Foi, les paroles prophétiques de ceux qui ont vu Dieu restant parmi eux comme des torches dans l'obscurité. Or la Foi sans la parfaite Connaissance de Dieu est corrompue. Un constat que les Apôtres ont pris soin d'établir dans leurs Epîtres et que les siècles suivants ont pris soin de démontrer, "le scandale des indulgences" la tête de l'iceberg. Miséricorde donc à tous, juifs et romains, chrétiens et païens, car dans son Omniscience, Dieu avait établi que le voile de la Connaissance parfaite de la Divinité ne tomberait pas des yeux de sa créature humaine avant que ne naisse la progéniture du Christ, cette progéniture née pour conquérir et vaincre les portes de l'enfer.  

 

Article trente-trois : Le droit de paix

Toutes les armées du Royaume de Dieu sont sous le Commandement du Roi des Cieux, Chef Suprême du Conseil des fils de Dieu, à la Voix duquel et à la Voix duquel seulement se meuvent les armées de l'Alliance de la Plénitude des Nations de l'Univers. Comme au Ciel sur Terre, nous, enfants de Dieu, avons le Devoir de séparer les gouvernements politiques des nations membres du Conseil de l'ensemble des Nations, dans les Membres duquel réside le Pouvoir de Guerre et de Paix, et au Corps et au Conseil duquel seulement les armées de l'Alliance de l'ensemble des Nations doivent obéissance. La paix étant le bien suprême par excellence de la Création, Dieu a ordonné que ce Pouvoir réside uniquement dans la Couronne de Son Fils, le Chef suprême du Conseil de l'Alliance de l'ensemble des Nations de Son Royaume. Le Conseil des fils de Dieu et le Conseil des chefs d'état-major des armées de l'Alliance de l'ensemble des nations du Royaume de Dieu font partie, en tant que tête et bras, du même Corps, et seul ce Corps, dont la Tête est le Roi, Jésus-Christ, a le Pouvoir de Guerre et de Paix.

 

Article trente-quatre : La loi du Roi

L'expérience est la mère de la science. Mais la science au service de l'homme en tant qu'animal politique devient une arme de destruction entre les mains d'une bête, humaine en apparence, née de l'homme mais inhumaine, qui n'a qu'un seul but en tête : Pour imposer son enfer au monde. Sur cette loi de la science, Dieu a établi le noyau dur de son royaume, interdisant l'accès aux technologies de défense à tout gouvernement en dehors de l'alliance de ses armées. Les lois qui suivent, l'interdiction de la vente d'informations et de matériel en dehors de l'Alliance du Roi, et l'acquisition de la propriété des industries de la Défense, à transformer en Patrimoine Universel de la Paix, sous réserve du Conseil des fils de Dieu, sont fondées sur la nécessité d'établir les piliers de Son Royaume en accord avec les dimensions infinies et éternelles de la Création. Dieu ayant appris par expérience que la soumission des armées nationales et internationales à la volonté temporelle et aux intérêts passagers des gouvernements politiques est à l'origine de la guerre, Il a mis sur la table une Nouvelle Alliance par laquelle tous les gouvernements remettent leurs armées entre Ses Mains. Anticipant cette Révolution Universelle Sempiternelle, Il s'est présenté à nous dans Son Livre en tant que YAVE des hôtes. Que l'homme le signe ou refuse de remettre entre les mains de son Créateur ce qui lui appartient par droit de création est une autre question. Satan a également refusé de signer l'alliance que Dieu et son Fils ont placée sous nos yeux à tous, hommes et non-hommes, selon laquelle Yahvé des armées est le Dieu de tous, et son Fils, Jésus, le Roi universel et éternel de la création. Unique et Premier-né, le Bras de Yahvé, le Roi de Ses armées, Jésus, notre Jésus-Christ, Origine de notre Lumière, Notre Maître et Sauveur, Seigneur et Roi, les deux conditions que l'Infini et l'Éternité mettent sur la table pour la croissance et la perpétuation d'une Civilisation dans l'espace et le temps, l'Universalité et la Sempiternité, Ces deux conditions remplies dans Sa Nature de Fils, soumettant tout Pouvoir à Sa Couronne, Son Père a établi la Loi du Roi contre la volonté temporelle et les intérêts passagers des Gouvernements nationaux et internationaux à l'origine des guerres, civiles et mondiales, que toute la création a subies jusqu'à présent. Par cette Loi, quiconque ne signe pas la Nouvelle Alliance sur laquelle Dieu a recréé son Royaume signe contre sa tête, qu'il soit fils ou serviteur de Dieu, la peine du bannissement de la Création. 

 

Article trente-cinq : Le droit de la civilisation

Qu'aucun homme ou groupe d'hommes ne soit persécuté pour ses idéaux de droiture. C'est pourquoi il est du devoir des enfants de Dieu d'abolir tout pouvoir de l'État pour tenter, réprimer, diaboliser ou contrôler les forces que l'Image divine en l'Homme met en mouvement pour secouer la Société de l'inertie naturelle à toute étape suivant une grande victoire. Tout mouvement de l'État au-delà de ses fonctions administratives est un crime contre la société. La société est née libre et a été dotée par son Créateur de toutes les forces nécessaires pour pouvoir, sans la violence de l'État, se frayer un chemin jusqu'aux frontières derrière lesquelles se trouve la terre promise de la Vérité, de la Justice et de la Paix. Cette Idée de Justice ne peut être renoncée car elle est Divine, et toute action de l'Etat contre elle, comme l'histoire l'a déjà montré, est l'objet de ruine. Par conséquent, nous, enfants de Dieu, avons le devoir de couper tous les fils par lesquels l'État s'arme pour combattre la Justice divine qui se découvre chez ceux dont l'Image est plus forte que leur propre vie. Comme en son temps la Séparation Etat-Eglise s'est avérée être un des piliers de la Civilisation, dans le nôtre la Séparation Etat-Armée est, au vu des faits, une Nécessité de Justice : révolutionnaire et irréversible, c'est-à-dire Divine.

 

Article trente-six : Le droit de la justice

Que tout prêtre qui fait l'apologie du crime en ordonnant l'emprisonnement ou la mort de ceux dont les idées divergent des siennes soit traduit devant la justice humaine pour répondre de son crime d'incitation au crime. Il est du devoir des enfants de Dieu d'expulser de l'Église de notre Père tous les serviteurs qui, contre l'esprit de la justice divine, s'érigent en inquisiteurs et bourreaux, directement ou indirectement, de ceux qui, selon leur entendement, se sont égarés dans la voie. La Parole de compréhension et de sagesse est la seule arme que le Christ a levée contre ceux qui voulaient le crucifier, et ceci, la Parole, est la seule arme dont nous avons hérité, enfants et serviteurs de Dieu. C'est pourquoi l'Écriture dit qu'au commencement, Dieu a créé l'homme nu. Mais ceux qui se sont armés pour combattre la parole de l'homme par le feu ne sont pas de Dieu, même s'ils sont entrés dans la Maison de Dieu et, en utilisant ses moyens, se sont élevés au sommet de l'échelle de ses serviteurs, ils n'ont jamais été de Dieu.

 

CONCLUSIONS FINALES

Lorsque Dieu a créé l'homme, il a projeté sur notre être la nature sociale de son être. Social par nature, Dieu a voulu continuer à nous rapprocher de sa Nature en projetant sur notre être l'Intelligence de son Être. Intelligent par nature, Dieu a voulu nous rapprocher encore plus de son Être en projetant sa Paternité sur notre être. Enfin, nous aimant de toute sa force, et voyant que nous ne trouvions pas le Modèle Divin, il nous a envoyé son Fils Premier-Né afin que nous trouvions dans sa Nature la nature de Fils qui nous a été donnée au Commencement.

Fils de Dieu, qu'ils soient de la semence d'Abraham, par la chair ou par l'esprit, ou de la descendance du Christ, notre nature intelligente nous place devant le fait de la Société du Royaume en laquelle Dieu a transformé Sa Relation avec Sa Création. Sur quoi nous comprenons ce qui a été énoncé dans la Déclaration de principes, à savoir que la liberté et l'amour sont les deux piliers éternels sur lesquels Dieu a érigé l'édifice de cette société Créateur-Créature. Et elle nous met face à la situation dans laquelle notre Dieu s'est trouvé lorsqu'il a dû sortir du conflit cosmique dans lequel une partie de ses enfants l'avait forcé à tomber. L'Ancien Modèle antérieur à la Chute, ayant entraîné cette situation, devait disparaître et être remplacé par un Nouveau Modèle, celui-ci fondé sur un Rocher Immuable dont l'horizon était ouvert sur l'Infini et dont le corps social était immunisé contre toute tentative de Guerre pour l'Eternité. Face à cette Situation de Révolution, Dieu a dû prendre les mesures nécessaires dans la matrice de Sa Victoire en plaçant en premier lieu la Fondation de ce Nouveau Modèle Social, à la naissance duquel tout le reste devrait être subordonné, même la Race Humaine, même la Douleur de Son Fils si nécessaire.

La nécessité a imposé sa loi. La Race Humaine devra continuer à subir les coups du fouet de la guerre civile perpétuelle jusqu'à ce que la Nouvelle Structure que sa Création devait recevoir soit définitivement configurée. Avec toute la douleur de son cœur, il devait en être ainsi. La nécessité lui a imposé de boire le calice de la Passion de son Fils unique. Cette même Nécessité devait atteindre son but et, en souffrant la douleur passagère des siècles à venir, avec la création entière plaçant son attente dans le bien que l'avenir nous réservait à tous, remplir la Coupe de Dieu avec les larmes que la douleur de deux mille ans devait Lui servir en abondance. Qui d'autre que LUI, Dieu de l'Éternité et de l'Infini, le Bien-aimé de la Sagesse incréée et créatrice, pouvait renverser la situation et convertir la Tragédie de la Race Humaine en une Épopée avec une fin heureuse ? Son âme soulagée par l'Obéissance de Son Fils qui, au prix de son sang, nous a tous engendrés, Il a remis nos vies entre Ses Mains, déposant dans Son Jugement l'Espoir du Salut Universel dans lequel la Création entière, le sachant, a trouvé le soulagement que les larmes de notre tragédie allaient apporter à Son cœur.

Un seul Royaume Universel et Éternel, composé de nombreux Mondes, chacun ayant son origine dans des Temps et des Étoiles différents, grandissant sans limite, étendant sans fin ses frontières et ses nations.

Une Église universelle et sempiternelle, à l'image et à la ressemblance de son Seigneur, dépositaire des vérités éternelles pour la joie de toutes les Nations et la gloire de notre Roi.

Un seul peuple, l'Homme, composé de nombreuses nations, Nation parmi les Nations, chacune un Monde, tous unis au même tronc, la Couronne de Dieu, comme les branches au même arbre, l'Arbre de Vie.

 

CHAPITRE DEUX

L'ESPOIR DU SALUT UNIVERSEL DE LA PLÉNITUDE DES NATIONS DE LA RACE HUMAINE.

 

OUVERTURE DU TESTAMENT UNIVERSEL DE CHRIST JESUS